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Dans son nouveau spectacle Djamil le Shlag poursuit l'exploration des thèmes qui lui sont chers : identité, éducation, transmission. Avec sa vision décomplexée et survoltée des maux qui affligent ses contemporains, il vient administrer une dose de rire et de positivité à une société en tension. Après une première tournée couronnée de succès, il repart à la rencontre du public partout en France avec son sens de la répartie et la même énergie communicative. Dans Exode(s), Djamil revient sur la multitude de petits et grands cheminements qui ont jalonné son parcours. De la campagne à la ville, de l'Afrique à l'Europe, du célibat à la vie de famille, de l'anonymat à la notoriété. A travers ses différentes expériences il tire la conclusion que le mouvement, c'est la vie. Et invite chacun à s'ouvrir au voyage et à la rencontre, les meilleurs remèdes contre le repli et l'immobilisme.
Une énergie et un phrasé uniques et une réputation de punchliner à défendre. France INTER
De et avec Djamil le Shlag
Production : ODT Prod
Une énergie et un phrasé uniques et une réputation de punchliner à défendre. France INTER
https://www.facebook.com/p/Djamil-Le-Shlag-100050331046845/?locale=fr_FR
Presse
Au sujet de son spectacle précédent 1er round : « Ancien chroniqueur de l’émission culte Les 30 Glorieuses, sur Radio Nova, et désormais recrue entousiasmante de C’est encore nous, sur France Inter, Djamil le Shlag traîne son humour bien affûté sur la scène de l’Apollo Théâtre en reprenant son premier spectacle. Loin du stand-up statique prôné par bon nombre de ses collègues, ce grand gaillard au béret Kangol vissé sur la tête livre un show explosif et survitaminé, quelque part entre James Brown et Jacques Brel, à l’image de ses chroniques radio. Débit mitraillette, punchlines bien senties : Djamil le Shlag conte, pendant plus d’une heure, des anecdotes hilarantes sur son enfance à Vichy, la vie parisienne, la schizophrénie identitaire, le couple ou l’infidélité. Un humoriste libre et charismatique au ton résolument différent, à découvrir sans tarder. » Télérama - Rossana Di Vincenzo - mai 2022